Ma quête pour explorer les profondeurs de la culture des terrains de jeux m'a récemment conduit au Sénégal, où j'ai eu l'occasion de documenter la scène locale du basket-ball à deux reprises en mai 2014 et 2015. Il existe un profond amour pour le sport et ce jeu…
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Ma quête pour explorer les profondeurs de la culture des terrains de jeux m'a récemment conduit au Sénégal, où j'ai eu l'occasion de documenter la scène locale du basket-ball à deux reprises en mai 2014 et 2015. Il existe un profond amour pour le sport et ce jeu a une véritable histoire. dans la ville la plus occidentale du vieux monde.
Le Sénégal compte de nombreux champs de bataille, la plupart en extérieur, sur béton. A Dakar, où la compétition est rude – suffisamment rude pour générer des athlètes de calibre NBA comme Makhtar N’Diaye, le premier joueur sénégalais à accéder à la NBA et à jouer avec les Fab Five Michigan. Ou encore Gorgui Dieng de Kébémer, dernier joueur arrivé dans la ligue majeure qui rénovait à cette époque le terrain de son enfance et récoltait des fonds pour améliorer la qualité de l'hôpital de sa ville natale.
Tout au long de mon parcours, j'ai également rencontré des personnes dévouées et passionnées comme Amadou Fall, le fondateur du projet SEED, le champion NBA Boris Diaw avec son organisation Babac'ards, et des individus qui tentent sincèrement de faire la différence en réactivant le jeu et en éduquant le jeunes dans leurs communautés.
Lorsque vous achetez le magazine, vous recevez également une sérigraphie d'une photo du Sénégal réalisée par l'artiste français Olivier Marescaux.
36 Photographies de Kevin Couliau
36 pages